J’ai écouté la radio à thème Lowrey c’est très intemporel !!!
Ça me rappelle l’époque des écoles d’orgue Yamaha
( Malgré ma déconne sur les auto-scooter je suis toujours partant pour apprendre quelque chose…
)Orgue Lowrey
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MichelC
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Et tous les binious du même style qui remplissent les Emmaüs et autres dépos vente viennent de la même génération...
Souvent vendus avec la traditionnelle méthode " a vous de jouer a l'orgue éléctronique" sans profésseur, en 3 méthodes
Des familles se sont ruinée pour acheter ces binious...il servent aujourd'hui a poser une plante ou une photo de la grand mêre
Souvent vendus avec la traditionnelle méthode " a vous de jouer a l'orgue éléctronique" sans profésseur, en 3 méthodes
Des familles se sont ruinée pour acheter ces binious...il servent aujourd'hui a poser une plante ou une photo de la grand mêre
L100P + 760
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Bertone Alain
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Wersi la grande marque européenne qui continue avec Böhm dans la pure tradition des ces instruments imitateurs d'orchestre. Voici à quoi cela ressemble en version actuelle. A mon avis c'est au moins aussi Kitsh que les Lowrey. Par contre pour le son le numérique est passé par là. Pour le prix c'est l' Euro qui est passé par là. 
Alain B.
M 162 + Leslie 770.
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Bertone Alain
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Pour ceux qui veulent avoir une idée du son de la "bête" vous trouverez sur le site Wersi Belgique à la rubrique média/démo les échantillons de son et des démos dans divers styles.
http://www.interlight.be/wersi/index.htm
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Alain B.
M 162 + Leslie 770.
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François BL
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MarcGriff
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Le prix de 150000Fr du XM1 est bien ce que ma pauvre mémoire se souvient.
Petit complément aux propos de MichelC, les jeux nommés clarinette, violoncelle, etc, ne sont pas apparus avec l'orgue de cinéma. En orgue classique, pratiquement tous les jeux ont un nom d'instrument acoustique à vent (hauboit, flute, trompette, clarinette, clairon, gambe, ranquette, etc) plus des noms nouveaux (prestant, nazard, tierce, voix celestes, fourniture de plusieurs rangs, cornet composé, etc. Car l'orgue classique essaie aussi d'imiter l'orchestre à sa manière.
L'orgue de cinéma à un objectif un peu similaire, mais pour une autre type d'orchestre, plus variété et jazz de l'époque, pour une toute autre musique (Jerome Kern, Gershwin, Col Porter, etc.) et une expression différentes où les sentiments qui sont dans les films muets des années 30 doivent être exacerbé par l'instrument.
Bien qu'on retrouve certains jeux communs à l'orgue classique (flute, bourdon, clarinette, hauboit, trompette, etc), d'autres jeux sont specifiques à l'orgue de cinéma. En premier lieu, c'est le tibia (nom issu de la forme du tuyau de ce jeu) qui est LE jeu indispensable de l'orgue de cinéma. C'est un jeu de type flute (a bouche) qui fonctionne a des pressions élevées et qui donne toute son expression grace au tremolo qui donne toute la couleur de l'orgue de cinéma. Ce tremolo sera à l'origine de la Leslie rapide (qui imite pas trop mal ce tremolo de tibia sans en avoir cependant le coté émotionel). Il est produit par variation de la pression dans le sommier des tibias. Les autres jeux ont aussi des tremolos, mais de couleur, pitch, fréquence et amplitude diffentes.
D'autre jeux à tuyaux sont aussi spécifiques comme le Post Horn. Mais la console de cinéma pilote pleins d'autres choses, de veritables piano, marimba, xylophone, gong, tambourins, grosse caisse, klakson, sifflet de locomotive, etc.
Autre invention de Hopes-Jones qui justifie l'appellation d'Unit Orchestra, et qui, à l'inverse d'un orgue classique où tous les jeux sont réèls (ex; un rangée de tuyau pour une flute 8', une autre rangée de tuyaux pour une flute 4', etc) Hopes-Jones utilisera une seule rangée de flute par exemple pour couvrir le 16', le 8', le 4', le 2', etc ce pour tous les jeux. Cela fait de grosses économie au détriment de l'a richesse et de l'ampleur de l'orgue. Ainsi, un DO 4 d'une flute de 4' fera parler le même tuyau qu'un DO 5 avec une flute de 8'. Même mise en commun entre les différents claviers.
Il y a là un parallele a faire avec le générateur Hammond où une roue phonique est utilisée par plusieurs tirettes selon la note jouée. Il y a de l'unit dans l'orgue Hammond.
Donc quand ont voit un Wurlizer 2/5, cela veut dire deux claviers, et 5 jeux. Mais chaque jeu se décline en plusieurs pieds (16', 8', 4', etc) et donne finalement une composition plus riche qu'il n'y parait.
C'est grace à cette technique de facture que de très nombreuses salles aux US et en Angleterre en particulier ont pu s'offrir cet instrument qui était plus accessible financièrement et plus compact qu'un orgue de facture classique.
Petit complément aux propos de MichelC, les jeux nommés clarinette, violoncelle, etc, ne sont pas apparus avec l'orgue de cinéma. En orgue classique, pratiquement tous les jeux ont un nom d'instrument acoustique à vent (hauboit, flute, trompette, clarinette, clairon, gambe, ranquette, etc) plus des noms nouveaux (prestant, nazard, tierce, voix celestes, fourniture de plusieurs rangs, cornet composé, etc. Car l'orgue classique essaie aussi d'imiter l'orchestre à sa manière.
L'orgue de cinéma à un objectif un peu similaire, mais pour une autre type d'orchestre, plus variété et jazz de l'époque, pour une toute autre musique (Jerome Kern, Gershwin, Col Porter, etc.) et une expression différentes où les sentiments qui sont dans les films muets des années 30 doivent être exacerbé par l'instrument.
Bien qu'on retrouve certains jeux communs à l'orgue classique (flute, bourdon, clarinette, hauboit, trompette, etc), d'autres jeux sont specifiques à l'orgue de cinéma. En premier lieu, c'est le tibia (nom issu de la forme du tuyau de ce jeu) qui est LE jeu indispensable de l'orgue de cinéma. C'est un jeu de type flute (a bouche) qui fonctionne a des pressions élevées et qui donne toute son expression grace au tremolo qui donne toute la couleur de l'orgue de cinéma. Ce tremolo sera à l'origine de la Leslie rapide (qui imite pas trop mal ce tremolo de tibia sans en avoir cependant le coté émotionel). Il est produit par variation de la pression dans le sommier des tibias. Les autres jeux ont aussi des tremolos, mais de couleur, pitch, fréquence et amplitude diffentes.
D'autre jeux à tuyaux sont aussi spécifiques comme le Post Horn. Mais la console de cinéma pilote pleins d'autres choses, de veritables piano, marimba, xylophone, gong, tambourins, grosse caisse, klakson, sifflet de locomotive, etc.
Autre invention de Hopes-Jones qui justifie l'appellation d'Unit Orchestra, et qui, à l'inverse d'un orgue classique où tous les jeux sont réèls (ex; un rangée de tuyau pour une flute 8', une autre rangée de tuyaux pour une flute 4', etc) Hopes-Jones utilisera une seule rangée de flute par exemple pour couvrir le 16', le 8', le 4', le 2', etc ce pour tous les jeux. Cela fait de grosses économie au détriment de l'a richesse et de l'ampleur de l'orgue. Ainsi, un DO 4 d'une flute de 4' fera parler le même tuyau qu'un DO 5 avec une flute de 8'. Même mise en commun entre les différents claviers.
Il y a là un parallele a faire avec le générateur Hammond où une roue phonique est utilisée par plusieurs tirettes selon la note jouée. Il y a de l'unit dans l'orgue Hammond.
Donc quand ont voit un Wurlizer 2/5, cela veut dire deux claviers, et 5 jeux. Mais chaque jeu se décline en plusieurs pieds (16', 8', 4', etc) et donne finalement une composition plus riche qu'il n'y parait.
C'est grace à cette technique de facture que de très nombreuses salles aux US et en Angleterre en particulier ont pu s'offrir cet instrument qui était plus accessible financièrement et plus compact qu'un orgue de facture classique.
B3/L22, A102/L251, E300/L351, PR40 et .....
Un clone MarcGriff pilotant le NI B4 II.
Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
Un clone MarcGriff pilotant le NI B4 II.
Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
Chapeau MarcGriff (et meilleure santé pendant que j'y suis) pour ton exposé.
Certains ont évoqué des marques autres que les Lowrey.
Mais personne n'a cité les orgues BALDWIN (pianos également) qui se voulaient un peu cousins des Hammond ou des Lowrey.
Si je trouve des infos sur le net, je mettrai le lien.
Certains ont évoqué des marques autres que les Lowrey.
Mais personne n'a cité les orgues BALDWIN (pianos également) qui se voulaient un peu cousins des Hammond ou des Lowrey.
Si je trouve des infos sur le net, je mettrai le lien.
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MichelC
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je n'ai pas osé tant de détails MarcGriff, mais bien vu
En revanche, pour les amateurs d'orgue hammond que nous sommes tous, chose importante a retenir, que je répète, la Leslie cherche a imiter les trémolos de l'orgue de cinéma !
les premiers Allen éléctroniques avaient d'ailleur de nombreux HP rotatifs, avec des charbons, c'est vraiments les HP qui tournent !
En revanche, pour les amateurs d'orgue hammond que nous sommes tous, chose importante a retenir, que je répète, la Leslie cherche a imiter les trémolos de l'orgue de cinéma !
les premiers Allen éléctroniques avaient d'ailleur de nombreux HP rotatifs, avec des charbons, c'est vraiments les HP qui tournent !
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Bertone Alain
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Effectivement Alain, BALDWIN. Peut-être aussi un peu moins présent que Lowrey chez les marchands de musique. Une anecdote me revient: La Marque KIMBALL du nom d'un grand facteur américain. Ses orgues électroniques étaient distribués en France par le réseau... SINGER. Oui les machines à coudre ! Chaque distributeur Singer avait dans son magasin un coin réservé aux orgues électroniques de la marque. C'est vous dire l'engouement pour ces instruments à cette époque.
Ce que dit Michel est vrai. Combien se sont endettés pour acquérir l'instrument de rêve poussé par un démonstrateur trop zélé et très convaincant. Un collègue avait offert un Kimball à sa fille pour sa réussite au bac pour une somme d'environ 10 000 francs à la fin des années 70. Il ne dépassa pas les deux mois d'utilisation et la trentaine de mise en route...
Ce que dit Michel est vrai. Combien se sont endettés pour acquérir l'instrument de rêve poussé par un démonstrateur trop zélé et très convaincant. Un collègue avait offert un Kimball à sa fille pour sa réussite au bac pour une somme d'environ 10 000 francs à la fin des années 70. Il ne dépassa pas les deux mois d'utilisation et la trentaine de mise en route...
Alain B.
M 162 + Leslie 770.
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MarcGriff
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Moins de modèles Baldwin importés en France à cette époque. Je me souviens des modèles Cinéma 2 et Cinema 3 assez réussis.
Il y avait aussi Hohner qui faisait de beaux orgues de variété à cette époque, mais je les ai vu en Allemagne essentiellement.
Juste après Lowrey, ne pas oublier aussi Eminent qui a fait quelques très beaux orgues tel de Grand Theatre 2000. Marque qui va de pair avec Solina et ses fameux string ensembles.
Il y avait aussi Hohner qui faisait de beaux orgues de variété à cette époque, mais je les ai vu en Allemagne essentiellement.
Juste après Lowrey, ne pas oublier aussi Eminent qui a fait quelques très beaux orgues tel de Grand Theatre 2000. Marque qui va de pair avec Solina et ses fameux string ensembles.
B3/L22, A102/L251, E300/L351, PR40 et .....
Un clone MarcGriff pilotant le NI B4 II.
Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
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Projet detaillé sur [url]http://hammondcloneorganb4.over-blog.com/[/url]
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zacharie
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- Enregistré le : dim. févr. 27, 2005 11:35 am
- Localisation : Rochefort Charente-Maritime
- Contact :
Ah le Grand Théâtre... Nous avons vécu 10 ans ensemble. Merveilleux mais deux défauts rédhibitoires :
- spinet (le 2500 avait 2x61 + P32 mais quasiment introuvable) ;
- ma femme n'en voulait pas dans son salon !
Sinon le String Ensemble était extraordinaire, et les les drawbars sympas aussi. Et jouer dans le noir avec toutes ses petites lumières... Si j'en retrouve un je crois que je recraquerai !
- spinet (le 2500 avait 2x61 + P32 mais quasiment introuvable) ;
- ma femme n'en voulait pas dans son salon !
Sinon le String Ensemble était extraordinaire, et les les drawbars sympas aussi. Et jouer dans le noir avec toutes ses petites lumières... Si j'en retrouve un je crois que je recraquerai !